"Toutes les décadences, toutes les époques pourries, foisonnent de Juifs, de critiques et d'homosexuels (...) ils filent le train derrière Prout-proust, les Picassos, les Sachas, les Cézannes..."
Le Morse et le Charpentier - Page 24
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Bagatelles
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"Avec Staline à leur tête, les Juifs sont parés" (Edition Denoël 1937, P.37)
Je suis aussi éloigné de LF Céline que de R. Camus pu R. Millet. "Bagatelles" parle plus des médecins aigris que des juifs.Comme Camus et Millet parlent plus de leur décadence que des allogènes.
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Promenade à Königsberg
En fait, j'ai une image célinienne de Sartre, un peu crasseuse : Céline se lavait-il les mains ?