J'étais aux obsèques de Julien Gracq, je regarde un peu ce qui s'est écrit à ce sujet. Dominique Autié a eu raison : ce que j'ai lu était uniformément mauvais. Lui-même est parti peu après. Surréalistes et catholiques se disputaient l'héritage. A ce jeu les seconds ont gagné, évidemment. Je connaissais deux survivants du premier groupe, l'un est un con, l'autre un vrai, mais gauchiste impénitent. Reste à lire Gracq. De ce point de vue le Pleiade a des mérites (pardon Corti !), il me permettra de recopier ici quelques citations. Les glapisseurs de Dieu n'auront pas le dernier mot.
Commentaires
Vas-y flivo ! Lâches-toi !
Pour l'heure, je laisserai parler Julien Gracq, mais si la "Maison Gracq" pouvait libérer ce grand écrivain qui est depuis dix ans prisonnier, je crois que je participerais à la réunion de la rançon... (je vais voir ce que va faire le nouveau directeur... et j'ai une autre idée -improbable, mais bon.)