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Le 27 décembre 2007

J'étais aux obsèques de Julien Gracq,  je regarde  un peu  ce qui s'est écrit  à ce sujet. Dominique Autié a eu raison : ce que j'ai lu était uniformément mauvais. Lui-même est parti peu après. Surréalistes et catholiques  se disputaient l'héritage.  A ce jeu  les seconds ont gagné, évidemment. Je connaissais  deux survivants du premier groupe, l'un est un con, l'autre un vrai, mais gauchiste impénitent.  Reste  à lire Gracq. De ce point de vue le Pleiade a des mérites (pardon Corti !), il me permettra  de  recopier ici quelques citations. Les glapisseurs de Dieu n'auront pas le dernier mot.

Commentaires

  • Vas-y flivo ! Lâches-toi !

  • Pour l'heure, je laisserai parler Julien Gracq, mais si la "Maison Gracq" pouvait libérer ce grand écrivain qui est depuis dix ans prisonnier, je crois que je participerais à la réunion de la rançon... (je vais voir ce que va faire le nouveau directeur... et j'ai une autre idée -improbable, mais bon.)

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