Annie Guézengar, voisine de M.Poirier, parlait de « l'homme de grand vent » qu'était Gracq. J'écris ces lignes alors que le vent prend ma porte-fenêtre our une guigne et je poursuit, pendant quelques jours encore, cette évocation à l'occasion du dixième anniversaire de sa mort. A noter – une fois n'est pas coutume, que dans le « Courrier de l'Ouest » des 24 et 25 décembre 2007, il avait disputé la une à l'Enfant-Jésus. La page consacrée à l'écrivain était d'ailleurs honnête et bien construite. Je poursuis avec un court extrait de la note de Gracq consacrée à Bernard Privat . Le casanier ne se privait pas des caresses et des petits dangers de l'éclectisme.
Le Morse et le Charpentier - Page 2
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Un déjeuner chez B.Privat
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Julien Gracq et Benjamin Péret
Benjamin Péret est mon pote, même si je ne suis pas adhérent à l'Association des amis de Benjamin Péret" , dont je recommande vivement le site : https://www.benjamin-peret.org/
Benjamin Péret n'a rien dit sur la mort de Julien Gracq, en revanche Gracq a écrit ceci (et que les glapisseurs de Dieu se le tiennent pour dit).
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Albert Camus - L'Etranger lu par Gracq
Sur Voltaire, Gracq est un peu facile, il est chirurgical quand il rapproche Becket et Manon Lescaut et somptueux quand, en quelques mots, il nous dit Camus.