Annie Guézengar, voisine de M.Poirier, parlait de « l'homme de grand vent » qu'était Gracq. J'écris ces lignes alors que le vent prend ma porte-fenêtre our une guigne et je poursuit, pendant quelques jours encore, cette évocation à l'occasion du dixième anniversaire de sa mort. A noter – une fois n'est pas coutume, que dans le « Courrier de l'Ouest » des 24 et 25 décembre 2007, il avait disputé la une à l'Enfant-Jésus. La page consacrée à l'écrivain était d'ailleurs honnête et bien construite. Je poursuis avec un court extrait de la note de Gracq consacrée à Bernard Privat . Le casanier ne se privait pas des caresses et des petits dangers de l'éclectisme.