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  • Julien Gracq sur Robespierre.

    Jack Ralite est mort dix ans après Julien Gracq. Nous n'étions pas amis, c'est peu de le dire, mais il respectait notre travail et l'a parfois soutenu. Recevoir un chèque de lui m'avait étonné : j'ai mieux compris ensuite pourquoi un ami qui nous avait quitté était parti travailler avec lui. Il n'y avait pas que le pouvoir (et d'ailleurs, lui aussi a quitté Jack Ralite pour, in fine, faire un peu d'argent… valorisation des acquis professionnels !), il y avait une qualité chez Ralite qui tend à me faire penser que quelques-uns des intellectuels du PCF auraient du lire « La Litterature à l'estomac » avant de s'engager. C'est à l'occasion d'une visite de Ralite à Saint-Florent que la discussion vient sur Robespierre :

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  • Un déjeuner chez B.Privat

    Annie Guézengar, voisine de M.Poirier, parlait de « l'homme de grand vent » qu'était Gracq. J'écris ces lignes alors que le vent prend ma porte-fenêtre our une guigne et je poursuit, pendant quelques jours encore, cette évocation à l'occasion du dixième anniversaire de sa mort. A noter – une fois n'est pas coutume, que dans le « Courrier de l'Ouest » des 24 et 25 décembre 2007, il avait disputé la une à l'Enfant-Jésus. La page consacrée à l'écrivain était d'ailleurs honnête et bien construite. Je poursuis avec un court extrait de la note de Gracq consacrée à Bernard Privat . Le casanier ne se privait pas des caresses et des petits dangers de l'éclectisme.

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